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La COVID-19 est une pandémie qui affecte chaque jour des milliers de citoyens. Bien que les laboratoires scientifiques soit à pied d’œuvre pour trouver un vaccin, il se fait enregistrer des nouveaux variant du virus.
Contamination d’un homme de 58 ans
Agé de 58 ans, un homme souffrant d’asthme est exposé au variant sud-africain du COVID-19. Notifions qu’il s’agit de la première contamination dans cette situation sur le sol français. Un adulte a été infecté deux fois par le virus Covid-19 en quelques semaines, soit la seconde par la mutation de l’Afrique du Sud qui a engendré des effets graves, ont déclaré les hôpitaux de Paris (AP-HP).
Cette situation montre que le variant de l’Afrique du Sud peut causer une réinfection sévère après une infection primaire avec la Covid-19 classique, signalent les scientifiques chercheurs.
Nouveau test positif en janvier
L’étude scientifique montre les signes d’une nouvelle infection par les mutations sud-africaine, britannique ou brésilienne, mais généralement la deuxième section est moins grave que la première.
De plus, ces incidents de ré contagion sont clairement plus fréquents que ceux paradoxalement détectés et diffusés dans les annonces médicales. Le cas exposé par les scientifiques français est donc celui d’un adulte de 58 ans.
Réinfection en présence d’immunisation
Une semaine après son test PCR positif du coronavirus, l’individu présente une trouble respiratoire subtile qui exige une intubation et une mise sous respirateur factice. Une année après l’exorde de l’épidémie, la durée d’immunisation contre la maladie inquiète toujours le grand public, avec encore l’apparition de variant plus infectieux. Parmi ceux-ci on compte le sud-africain qui est source de craintes particulières, les chercheurs craignent qu’il n'affaiblit l’efficience des vaccins.
Enfin, la situation est toujours sou contrôle et le variant sud-africain est mis en isolation. Le patient vit toujours et les médecins travaillent nuit et jour pour éradiquer cette pandémie.