Des algorithmes font leurs preuves dans la lutte contre le cancer chez les enfants

Le cancer est une maladie grave qui touche aussi bien les adultes que les enfants. En effet, le cancer pédiatrique est un cancer très rare qui représente moins de 3% des formes de cancers qui existent. Sa rareté et sa complexité rendent très compliquées les recherches menées dans le sens du développement d’un traitement efficace. Heureusement, la recherche a pu développer des algorithmes qui permettent de lutter efficacement contre le cancer pédiatrique. Découvrons en plus sur cet algorithme le sauveur dans la suite de cet article. 

Un algorithme efficace contre cancer pédiatrique  

Les scientifiques ont pu mettre les mathématiques au service de la médecine en développant un algorithme. Des tests effectués en milieu réel sur une durée de 5 ans montrent que 75% des jeunes atteints de cancer guérissent. Cette nouvelle technologie est développée par l’IHOPE et propose des chimiothérapies adaptées. Ainsi, la médecine pourra se baser sur des paramètres plus poussés comme le groupe sanguin et la résistance des systèmes de défense de chaque individu dans le but de déterminer des doses uniques et précises à administrer à chaque patient.  Par ailleurs, les médecins se rassurent quant à une meilleure maîtrise des effets secondaires générés par les traitements au cas par cas. 

Un bon début pour l’éradication du cancer pédiatrique

En général, la fragilité de l’organisme des enfants les expose à un fort taux de propagation des tumeurs cancéreuses. En 2012, on comptait environ 150 décès d’enfants compris entre la tranche d’âge 0 à 14 ans. Aussi, en 2013, environ 100 cas de cancer pédiatrique ont été observés. 

Grâce à cet algorithme, on note une baisse réduction des principaux types de cancers qui touchent les enfants. En effet, cette technologie permet de réduire de 32% le taux de cancer de leucémie, de 19% le taux du cancer du cerveau et enfin de 11% le cancer du lymphome. Par ailleurs, cette diminution du taux de mortalité est de bonne augure pour cet algorithme. Toujours est-il qu’il y a des améliorations à faire quant à l’impact des effets négatifs.